Citation extraite de l'Écume des Jours, de Boris Vian
Le vent se frayait un chemin parmi les feuilles et ressortait des arbres tout chargé d'odeurs de bourgeons et de fleurs. Les gens marchaient un peu plus haut et respiraient plus fort car il y avait de l'air en abondance. Le soleil dépliait lentement ses rayons et les hasardait avec précaution dans des endroits où il ne pouvait atteindre directement, les recourbant en angles arrondis et onctueux, mais se heurtait à des choses très noires et les retirait vite, d'un mouvement nerveux et précis de poulpe doré.
Cette image n'a rien à voir avec le sujet : , mais elle est là, et aussi vrai que 0<1,
elle y restera.
Titre de colonne | Titre de colonne |
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Une troisième... | |
... et la dernière ! |